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Foncier

Quel avenir pour la propriété privée rurale ?

Fort de quelque 300 adhérents, le syndicat de la propriété privée rurale de l’Ain a tenu son assemblée générale le 11 octobre à Péronnas. La thématique du jour : « Être propriétaire foncier rural : mythe ou réalité, droits et obligations ».

Quel avenir pour la propriété privée rurale ?
Gilles Bruneau, président du syndicat de la propriété rurale de l’Ain (à droite) et maître Benjamin Travely (au centre), notaire et maître de conférences associé en droit rural à l’université de Bourgogne. ©PF

« Au niveau national, notre fédération regroupe environ 70 départements avec plus de 10 000 adhérents. Nous sommes tous convaincus de l’importance et du ressort économique, social et environnemental, que représente la propriété privée rurale pour la filière agricole française, pour la ruralité et pour la beauté de nos paysages », rappelle Gilles Bruneau, président du syndicat de l’Ain, réuni en assemblée générale le 11 octobre à Péronnas. Fort de quelque 300 adhérents, le syndicat prône une défense collective des propriétaires pour être efficace et professionnelle. Ainsi que le martèle son président, « les difficultés ne sont pas fonction de la taille des propriétés. Cotiser, c’est lutter pour maintenir la valeur sociale, économique et culturelle de notre belle cause, éviter son grignotage permanent, en aidant les bénévoles du département et les professionnels de la fédératio...

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